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Le gouvernement de Guinée-Bissau a mis en place, avec le soutien de la Banque mondiale, un programme d’envergure pour améliorer les services en eau et en énergie du pays : le Projet d’urgence de réhabilitation des secteurs d’électricité et d’eau (PURSEE). Ce programme veut accroître la capacité de production d’électricité et distribution d’eau par la construction d’une nouvelle centrale au gasoil, des compteurs prépayés et un château d’eau. Le gouvernement a décidé de consacrer une partie des fonds aux services d’un consultant, Seureca, afin d’améliorer la performance financière et opérationnelle de la société publique d’eau et d’électricité : Empresa de Electricidade e Aguas da Guiné-Bissau (EAGB).

Nairobi est une ville en pleine expansion, avec 3 millions d’habitants. Chaque année, plus de 800 000 tonnes de déchets solides sont générées à Nairobi et une partie seulement est dirigée vers la décharge de Dandora. Cette décharge arrivant bientôt à saturation, un nouveau centre d’enfouissement technique (CET) se révèle indispensable pour répondre aux besoins en stockage de la métropole.

L’île de Santiago est la plus grande de l’archipel du Cap-Vert et compte une population de 275 000 habitants. Les infrastructures d’eau et d’assainissement sont en très mauvais état et ne permettent pas de servir la totalité de la population. L’entreprise intermunicipale Águas de Santiago (AdS) a été créée en 2014 et résulte de la fusion de services municipaux existants sur l’île de Santiago. Ce changement vise à améliorer le niveau de service tout en assurant la rentabilité économique et financière de cette nouvelle entreprise. L’objectif de l’assistance technique est d’aider AdS à démarrer ses opérations dans les meilleures conditions possibles, de manière organisée et efficace, en tenant compte des enjeux sociaux.

Le projet concerne l’assistance technique de l’EASCN (Empresa de Água e Saneamento de Cuanza Norte) pour la gestion des réseaux d’eau potable de la ville de N’Dalatando. Actuellement, près de 9 000 connections sont desservies : le but est d’atteindre 14 000 connections en 2017. Le réseau actuel comporte 130 km de canalisations et est alimenté par un réservoir de 5 000 m³, lui- même relié à une station de traitement d’eau d’une capacité de près de 8 000 m³/jour.

Ce projet s’inscrit au sein du programme Lusaka water supply, sanitation and drainage project (LWSSDP), financé par le gouvernement américain via Millennium Challenge Corporation, dont la finalité est d’améliorer les conditions de vie des habitants de la capitale de la Zambie. Le projet vise à assister la société des eaux, appelée localement LWSC, dans la réduction des pertes en eau, d’un niveau estimé à 48% vers une valeur cible de 25%. Les efforts sont organisés autour de la définition de plans d’actions et le déploiement d’outils et méthodes, avec un transfert continuel de compétences et de savoir pour les équipes locales.

Un projet de rénovation du secteur électrique piloté par la Banque mondiale a été adopté en 2012 par le gouvernement de Guinée-Conakry afin de mettre un terme à la grave crise qui touche actuellement le secteur de l’énergie dans ce pays. Ce projet a pour but d’améliorer les performances techniques et commerciales de la compagnie nationale de distribution d’électricité, Électricité de Guinée (EDG) grâce à la mise en œuvre d’un programme de courte durée (moins de cinq ans) axé sur les aspects techniques, économiques et financiers.

Dans le cadre du soutien apporté par le gouvernement britannique à la mission internationale de destruction des armes chimiques syriennes, menée sous l’égide des Nations Unies, Veolia a été sélectionné pour procéder à la destruction de 194 tonnes de matières dangereuses.

Le démantèlement de matériels roulants est un véritable défi technique et environnemental. Peu d’entreprises maîtrisent la chaîne complète d’expertises : logistique, déconstruction, désamiantage, valorisation des matériaux recyclables, traitement des déchets ultimes.

Veolia met en place une filière de démantèlement à terre de plateformes pétrolières et gazières offshores

Née en 1997 de la fusion de Guinness et Grand Metropolitan, Diageo est aujourd’hui la première entreprise de bières, vins et spiritueux du monde. Elle cherche à réduire ses dépenses énergétiques et sa consommation d’eau sur son principal site écossais.

Avec la mise en œuvre de la solution la mieux adaptée pour les emballages souillés, Veolia améliore sensiblement la valorisation des déchets de Danone.

Contraint par la réglementation hongroise de construire une station d'épuration pour son usine de Nagykőrös, en Hongrie, Bonduelle a fait appel à Veolia, qui a proposé d'utiliser le biogaz issu de la matière organique pour produire de la vapeur.

Veolia a mis au point un procédé unique de recyclage des eaux issues de la liquéfaction de gaz pour une réutilisation à 100 % sur site industriel.

Après avoir construit l’usine de dessalement de Jubail I, Veolia a été choisi par Marafiq pour la conception, la construction et l’exploitation de la plus grande usine de dessalement à ultrafiltration et osmose inverse d’Arabie saoudite, Jubail II.

Total a retenu depuis 2004 le procédé de nettoyage automatisé « non entry » (sans pénétration de personnel) de Veolia pour le nettoyage-dégazage de ses bacs de brut sur ses sites européens.

En treize ans, Veolia a permis à LG Lotte Petrochemicals de réduire de manière significative sa consommation énergétique et ses prélèvements en eau, tout en augmentant ses capacités de production.

Veolia aide une filiale de Sinopec à mieux traiter ses eaux usées et à réduire sa consommation d’eau.

Assurant actuellement 25% de la capacité de production d'aluminium primaire, Tomago Aluminium (Tomago) est l'un des principaux fabricants australiens de produits en aluminium et l'une des plus grandes fonderies d'aluminium d'Australie. Avec plus de 1 200 employés, l'entreprise génère chaque année plus de 1,5 milliard de dollars AU. Tomago Aluminium est exploité par Rio Tinto Alcan, Gove Aluminium Finance Ltd (CSR et AMP) et par Hydro Aluminium. Établi dans la région de Hunter depuis 30 ans, Tomago Aluminium est situé à environ 13 km au nord- ouest de Newcastle. La fonderie d'aluminium produit chaque année près de 540 000 tonnes de lingots, lingots en T, billettes et plaques de laminage. Tomago cherchait essentiellement à stopper la baisse de performance des installations d'énergie et d'eau, à réduire l'impact des déchets et à diminuer le coût total de possession. L'entreprise souhaitait également des services professionnels et sûrs.

Le site de Florange est une ancienne mine qui a été fermée.
Suite à sa fermeture, l'évacuation des eaux souterraines de la mine a été arrêtée, ce qui a provoqué une augmentation de la salinité et de la teneur en sulfate. En 1997, la décision des autorités d’inonder pour des raisons de sécurité les tunnels des mines du Nord (bassin minier) constituait un défi pour ArcelorMittal car elle allait apporter des modifications physico-chimiques (élévation de la conductivité, teneur en sulfate, etc.) à l'eau de la mine en cours d'utilisation.
Par conséquent, ArcelorMittal devait trouver un partenaire pour moderniser son usine de traitement de l'eau de la mine à haute teneur en sulfate, pour respecter les normes environnementales et réutiliser l'eau traitée dans les applications industrielles.

Les mines abandonnées se remplissent d'eau lorsque le pompage d'exploitation s'arrête et le taux élevé d'acidité de l'eau apporte d'autres métaux toxiques dans la solution. Dans le cas de la mine de Wheal Jane, cela a entraîné le débordement du canal de décharge Nangiles en 1992, provoquant ainsi une pollution majeure de l'estuaire du Fal. Les drainages miniers acides (DMA) chargés de métaux lourds se sont déversés dans la rivière Carnon et l'estuaire du Fal, causant de graves dommages environnementaux.

Essentielle à l’industrie minière, l’eau est utilisée dans différentes activités telles que le traitement du minerai, l’élimination des poussières, le transport des boues et les besoins du personnel. Veolia, via sa filiale Veolia Ghana Limited créée le 1er juillet 2014, assure l'exploitation et la maintenance de l'usine de traitement de l'eau d'Iduapriem, au Ghana. La mine est située dans l'ouest du Ghana.

Réalisée par Amendis en collaboration avec les autorités publiques, une enquête menée dans les villes de Tanger et Tétouan a identifié que 66 000 foyers, répartis dans 277 quartiers, n'étaient pas raccordés aux infrastructures d'eau potable et d'assainissement.
Cela représente une population d'environ 330 000 personnes n'ayant pas accès à l'eau potable et des eaux usées sont rejetées dans la nature.